Un texte à la demande de Jean-François Neck avec toutes mes amitiés
Gaïa __ déesse dénudée
De désir inondée
Un soleil te réchauffe
Au sortir de l'ondée
Se dressent tes reliefs
Vallons évaporés
Sous le soc en sillon
En parfums tu t'exaltes
Et t'entrouvres sans hâte
Exhumant un frisson
Au creux de ta prison
La semence s' égraine
Et les heures s'enchaînent
Moissonnant ta toison
Tu es ventre d'un monde
L'horizon d'une vie
Une source d'envie
S' écoulant d'une bonde
Quand tu jouis sous la pluie
Mystère __ une terre labourée
Dorée de clapotis
Petits cris d'une blonde
Ayant perdu l'esprit
Que tu sois vallonnée
Quand bien même un peu ronde
Toi la femme gironde
Sous un ciel étoilé
Tu es terre féconde
Aux yeux bleus dévoilés
Au fond de ta vallée
Je m'enfouis __ et me fous des secondes
© Copyright Merle Bleu
Enfer et damnation quelle horreur ! Gaïa est le nom d'un ange de pureté et de fragilité, une petite flamme rieuse et fragile d'à peine 4 mois que j'aime à cœur perdu ; je ne peux supporter de voir son nom ici Merle Bleu....FAITES QUELQUE CHOSE !
RépondreSupprimerDemi
Mon dieu ... mon dieu ... à quelle déesse se vouer ... Madoué madoué ... pour me corriger je ne suis pas doué. Mais depuis que la terre est ronde (vers les 1500 non ?) ... Plus d'un âne s'est appelé Martin ... et la terre est restée pûre jusqu'à ce que notre regard la pollue :)
SupprimerJe suggère Gê ! cet autre nom désigne la même Déesse. Demi sourire mitigé....
RépondreSupprimerUn Gê de Pierre ... pourquoi pas ... j'en reste pétrifié :)
SupprimerJe note donc que vous refusez de tenir compte de l'impact sur vos lec-teurs-trices. Bien ! vous disiez l'autre jour avoir pris fait et cause pour une amie et j'avais naïvement espéré que vous pourriez entendre une de vos lectrices. Conclusion : je crois toujours au Père Noël ! on ne se refait pas.... Demi
RépondreSupprimerNon ? Parce que la demande était sérieuse ? Je ne peux pas l'imaginer ... Un peu de recul que diable ... Un nom ... est un nom ... et s'applique à quantité de choses ou personnes différentes ... Je m'appelle Pierre et jamais au grand jamais je n'accepterais que l'on bâtisse une église sur mes épaules ... Il y a et aura des Pierre remarquables et ce que je suis ne les ternira en aucune manière ... Souriez ... votre petite fille est un ange, c'est la seule chose qui compte ... qui retiendra quoi que ce soit de ce texte ?
SupprimerPar ailleurs il est beau ce poème et met bien en avant les richesses de cette terre féconde et fécondée... c'est le double sens qui.......... l'être humain vous savez ! peut être que... peut être.... Demi
RépondreSupprimerJe sais si peu de chose sur l'être humain justement ...
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