Mon cœur tassé entends le souffle
Profonde plainte des fantômes
Frisson des joues __ des veines creuses
Le son des âmes malheureuses
Sur le sweet home de nos ruines
Qui entendra ce qui s'essouffle
Dans un silence sans limite
Pensée courbée de peine souple
La plaine vaste dévastée
De ce que l'aube lui a pris
Crie de poussière et vétusté
Restes des rêves incrustés
Sous le soleil d'un sort écrit
J'entends ce non qui s'évapore
Le dos voûté sans corps à corps
Je suis l'amour simple d'esprit
Sous la caresse de l'aurore
© Copyright Merle Bleu
La dernière strophe est la bienvenue !!!!
RépondreSupprimerDans la solitude il reste ce que nous sommes ... bises la fée
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