Qui serai-je dis moi, l'émanation d'un rêve ?
Une illusion perdue tout droit issue d'un songe,
Un parfait inconnu échoué sur ta grève,
La vérité à nu comme un air faux dérange ?
Serai-je l'insipide histoire aux oubliettes,
Le vide dérisoire associé à l'oubli,
Ou bien encore l'ennui où s'achève la quête,
L'absence de savoir où périt l'érudit ?
Serai-je l'évasion du nuage sans goutte,
D'une fuite en avant l'enivrant tourbillon,
Le vent des sentiments annonçant la déroute,
Tornades à l'aimant, balayant la raison ?
Serai-je juste instant, suspendu à ta bouche,
Le prince des amants égaré en ton lit,
La parenthèse tendre où le soleil se couche,
Le charmant délinquant au creux de tes délits ?
Serai-je un peu d'espoir, une touche de blanc,
Lumière passagère accrochée à tes doutes,
Clairvoyance dans l'ombre au futur apaisant,
L'étape nécessaire à poursuivre ta route ?
Oui bien juste cet homme à l'aura qui te touche,
Un fragment de ton être où se double ton cœur,
La fameuse âme sœur, la moitié de ta roche,
La réponse à tes peurs faisant face au bonheur ?
Aux confins du destin, l'avenir se redoute.
Une illusion perdue tout droit issue d'un songe,
Un parfait inconnu échoué sur ta grève,
La vérité à nu comme un air faux dérange ?
Serai-je l'insipide histoire aux oubliettes,
Le vide dérisoire associé à l'oubli,
Ou bien encore l'ennui où s'achève la quête,
L'absence de savoir où périt l'érudit ?
Serai-je l'évasion du nuage sans goutte,
D'une fuite en avant l'enivrant tourbillon,
Le vent des sentiments annonçant la déroute,
Tornades à l'aimant, balayant la raison ?
Serai-je juste instant, suspendu à ta bouche,
Le prince des amants égaré en ton lit,
La parenthèse tendre où le soleil se couche,
Le charmant délinquant au creux de tes délits ?
Serai-je un peu d'espoir, une touche de blanc,
Lumière passagère accrochée à tes doutes,
Clairvoyance dans l'ombre au futur apaisant,
L'étape nécessaire à poursuivre ta route ?
Oui bien juste cet homme à l'aura qui te touche,
Un fragment de ton être où se double ton cœur,
La fameuse âme sœur, la moitié de ta roche,
La réponse à tes peurs faisant face au bonheur ?
Aux confins du destin, l'avenir se redoute.
© Copyright Merle Bleu
superbe questionnement sur l'amour
RépondreSupprimeravec toute la douceur du velours
bravo
Françoise
Merci pour cette gentillesse.
SupprimerAmicalement
Pierre