Femme pétale, frêle rose,
En ta caresse je m'enroule,
Nez frémissant, paupières closes.
De ta douceur frissonnant baume,
Pointe la peau comme les poules,
Et je me couvre de ce dôme.
Tu es le vallon de mes bosses,
L'apaisement à mes blessures,
La magicienne Carabosse.
Ô toi l'amante sortilège,
Le creux refuge, l'abri sur,
Être ton homme est privilège.
Tu es le roseau sous le vent,
Là où se briseront les chaines,
Mes bras tendus en paravent.
Soufflent les peines, ventent les rires,
Un battement pulse en nos veines,
Nos sens érigeant l'avenir.
© Copyright Merle Bleu
En ta caresse je m'enroule,
Nez frémissant, paupières closes.
De ta douceur frissonnant baume,
Pointe la peau comme les poules,
Et je me couvre de ce dôme.
Tu es le vallon de mes bosses,
L'apaisement à mes blessures,
La magicienne Carabosse.
Ô toi l'amante sortilège,
Le creux refuge, l'abri sur,
Être ton homme est privilège.
Tu es le roseau sous le vent,
Là où se briseront les chaines,
Mes bras tendus en paravent.
Soufflent les peines, ventent les rires,
Un battement pulse en nos veines,
Nos sens érigeant l'avenir.
© Copyright Merle Bleu
Un écrit plein de promesse, presque une allégresse.
RépondreSupprimerEvelyne
Presque lol...tu vois que je peux même faire des textes qui ne soient pas tristes ;-) .
SupprimerMerci pour la gentillesse de tes commentaires.
Bises, Pierre
quel beau voyage :-)
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