Elles se pavanent en Chanel
Et font leur courses over Channel
Leur mains ignorant l'eau d'javel.
Elles ont le vers qui cocotte
Et le discours qui caquette
Sous un décor de paillettes.
Elles sont amoureuses de Paname
Frissonnent au moindre mélodrame
Et sous les dorures se pâment.
Elles jouent à la noblesse
Abjurant à confesse
Leurs plumes entre deux fesses.
Elles roulent en allemandes
A la droite des bandes
Sourire en contrebande.
Elles chiquent le vulgaire
En se prenant des airs
Plus haut que leur derrière.
Elles traquent le bénéfice
Comme on ouvre les cuisses
En criant au supplice.
Elles sont, c'est sur bien françoises
Pimbêches quand on les croise
Ces dames que l'on nomme bourgeoises.
Et font leur courses over Channel
Leur mains ignorant l'eau d'javel.
Elles ont le vers qui cocotte
Et le discours qui caquette
Sous un décor de paillettes.
Elles sont amoureuses de Paname
Frissonnent au moindre mélodrame
Et sous les dorures se pâment.
Elles jouent à la noblesse
Abjurant à confesse
Leurs plumes entre deux fesses.
Elles roulent en allemandes
A la droite des bandes
Sourire en contrebande.
Elles chiquent le vulgaire
En se prenant des airs
Plus haut que leur derrière.
Elles traquent le bénéfice
Comme on ouvre les cuisses
En criant au supplice.
Elles sont, c'est sur bien françoises
Pimbêches quand on les croise
Ces dames que l'on nomme bourgeoises.
© Copyright Merle Bleu
Lol, il y en a des comme ça, en effet...
RépondreSupprimerEvelyne*
Mais elles se reconnaitront surement pas ;-)
SupprimerDites-monsieur, je vous prierai de revoir votre portrait...Rires...
RépondreSupprimerBien vu !!!
Bises
Faute avouée... (sourire). Un petit délire, ça fait du bien de temps à autre ;) . Bises
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