Je suis l'oiseau qui vire, je suis l'oiseau qui volte,
Elle est ma citadelle aux troubles réconforts,
En un battement d'Elle, mon âme virevolte
Et son ventre sera le dernier de mes ports.
Sautillante étincelle écarquillant les yeux,
Chaleureuse présence à mon cœur délicieuse,
A sa flamme je brule et je renais aux vœux,
Et la plume se trempe à son âme gracieuse.
En volutes charnelles nos idées se mêlent,
S'évapore en la brume la chaleur de nos corps,
Et la moiteur palpite à nos cœurs qui s'emmêlent,
A la force d'écrits nos gestes sont accords.
Le souffle se fait court, le rythme s'accélère
Quand se coupe le vers, que se vide la coupe,
Que s'arrime la coque et vogue la galère,
S'affaisse le derrière et se secoue la croupe.
Elle est ma citadelle aux troubles réconforts,
En un battement d'Elle, mon âme virevolte
Et son ventre sera le dernier de mes ports.
Sautillante étincelle écarquillant les yeux,
Chaleureuse présence à mon cœur délicieuse,
A sa flamme je brule et je renais aux vœux,
Et la plume se trempe à son âme gracieuse.
En volutes charnelles nos idées se mêlent,
S'évapore en la brume la chaleur de nos corps,
Et la moiteur palpite à nos cœurs qui s'emmêlent,
A la force d'écrits nos gestes sont accords.
Le souffle se fait court, le rythme s'accélère
Quand se coupe le vers, que se vide la coupe,
Que s'arrime la coque et vogue la galère,
S'affaisse le derrière et se secoue la croupe.
© Copyright Merle Bleu
J'aime bravo ... écrire est un plaisir divin
RépondreSupprimerQuand l'émotion guide la main du Poète
Pensées amicales encore
et belle soirée Pierre
Paule