Madame, votre sourire si coquin m'inspire
Venez donc près de moi que je vous vois sourire.
Comment, vous trouvez mes lèvres douces et attirantes ?
Osez Madame y poser les vôtres si ardentes !
Madame, vous prenez là un bien curieux chemin !
Sentez vous sous votre paume cet oiseau frémir ?
Et de mon âme entendez vous le long soupir ?
Mon souffle se fait court à la caresse satin.
Oh Madame, voici que s'entrouvre en grand la cage !
Je ne peux garantir que je vais rester sage !
Osez l'oiseau sortir, il a froid, il a faim,
Sentez le s'épanouir au creux de votre main.
Que ce lent va et vient me fait le cœur velours,
Je sens de haut en bas ce long frisson qui court.
Le si langoureux murmure, de vos sens me touche,
J'attends tout frémissant le chaud de votre bouche.
Venez donc près de moi que je vous vois sourire.
Comment, vous trouvez mes lèvres douces et attirantes ?
Osez Madame y poser les vôtres si ardentes !
Madame, vous prenez là un bien curieux chemin !
Sentez vous sous votre paume cet oiseau frémir ?
Et de mon âme entendez vous le long soupir ?
Mon souffle se fait court à la caresse satin.
Oh Madame, voici que s'entrouvre en grand la cage !
Je ne peux garantir que je vais rester sage !
Osez l'oiseau sortir, il a froid, il a faim,
Sentez le s'épanouir au creux de votre main.
Que ce lent va et vient me fait le cœur velours,
Je sens de haut en bas ce long frisson qui court.
Le si langoureux murmure, de vos sens me touche,
J'attends tout frémissant le chaud de votre bouche.
© Copyright Merle Bleu
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire