Le vent souffle ses relents d'Ouest,
Le crâne étouffe et s'électrise,
L'attente ne fait plus un geste,
L'âme lentement s'amenuise.
Venue de l'au delà des mers
Une fée glisse son murmure,
Se fendille la lourde armure
Sous une pantoufle de verre.
Jambe soyeuse de reflet,
Mon regard flambe de désir,
A la limite de l'ourlet,
Je veux être le doux vizir.
Mon cœur enfle comme citrouille
Et voudrait se faire carrosse,
Couvert de peinture antirouille
Au vernissage d'une bosse.
Il bondit comme un étalon
Sous la caresse d'une flamme,
Fringale du bas des talons
Au chas d'une aiguille de femme.
Le crâne étouffe et s'électrise,
L'attente ne fait plus un geste,
L'âme lentement s'amenuise.
Venue de l'au delà des mers
Une fée glisse son murmure,
Se fendille la lourde armure
Sous une pantoufle de verre.
Jambe soyeuse de reflet,
Mon regard flambe de désir,
A la limite de l'ourlet,
Je veux être le doux vizir.
Mon cœur enfle comme citrouille
Et voudrait se faire carrosse,
Couvert de peinture antirouille
Au vernissage d'une bosse.
Il bondit comme un étalon
Sous la caresse d'une flamme,
Fringale du bas des talons
Au chas d'une aiguille de femme.
© Copyright Merle Bleu
Un poème rouge à lèvres et bas nylon
RépondreSupprimerUn poème haute couture bravo j'aime
Au plaisir de revenir te lire Pierre
Paule
A quand la femme design...;)
SupprimerMerci pour tes visites Paule.
Bises
Pierre