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La branche de Merle Bleu
lundi 30 novembre 2015
Formes nuageuses
Nuage emmène moi
Emmène moi sur tes formes fugueuses
Sur le sommet des songes éphémères
Envole moi au-dessus de la mer
Sous ton ventre d'ombre grise
Dessine moi d'autre figures
D'autres gondoles __ des Venise
D'autres visages __ chevelures
Emmène moi nuage et glisse
Trace à l'azur la démesure
Dessine moi un horizon et des esquisses
De la dentelle __ des parures
Sois de mes ailes la voilure
L'apesanteur du bout des rêves
Vers d'autres lieux __ vers d'autres rives
De découverte et d'aventure
Emmène moi dans le coton des anges
Loin du tumulte des naufrages
Emmène moi vers un autre age
Où les silences sont refuges
Fais de mon être le transfuge
Le passager d'un long voyage
Pas vraiment seul __ pas vraiment sage
Sans rien attendre du déluge
Emmène moi __ écheveau de vapeur
Là où l'esprit vient lâcher prise
Sous un ciel clair __ terre promise
Là où le bleu tape à mon cœur
© Copyright Merle Bleu
dimanche 29 novembre 2015
Portée de bulles
De belles bulles s'évaporent
Des bulles blanches du décor
Coquilles émoussées de mousse
Des bulles rondes sans rebord
Elle aimait __ mais sans rapport
Sans le corps __ les gestes symbolisent
Elle aimait sans devise
Brisait les chaînes d'or
De belles bulles s'évaporent
Sans une lutte ou corps à corps
Des bulles vides sans paroles
Bulles légères __ paraboles
Elle aimait __ aime encore
A la lisière d'elle
Où le rêve s'endort
Où les bulles s'envolent
Dans le vent qui me pousse
Là où moussent les bulles
Sur des mots funambules
Préambule de seul __ je m'envole du sol
Elle aimait d'elle __ même mal
Sans un monde de Soi __ dans le monde réel
Pas d'amour idéal
Pas de rêve éternel
Je m'envole sans note
Par le temps emporté
De belles bulles éclaté
Lessivé par les gouttes
Je me pose à l'instant __ à la croisée des routes
A la brume des doutes
Je me pose et j'attends la musique des bulles
Dans le souffle du vent __ suspendu sur un fil
© Copyright Merle Bleu
vendredi 27 novembre 2015
jeudi 26 novembre 2015
L'arbre sans voix
Il souffre de silence
L'arbre qui perd
Les belles feuilles de ses branches
D'absence de lumière
Il a peur de l'hiver
Du bûcheron qui tranche
Du froid et de la glace
De la cîme qui penche
Sous de la neige blanche
Il rêve de printemps
De sève et de verdure
D'un Univers en vert
Au ciel à cœur ouvert
Il érige ses doigts
Des squelettes de bois
De noirceur et vertige
Lui répond le silence à l'arbre sans repère
Il tremble de misère en la forêt immense
Nature en manque aux pensées grises
Les pieds décomposés dans des restes funèbres
Parfois il pleure dans l'ombre des ténèbres
Son écorce arrosée d'une averse de pluie
Il pleure et geint la nuit à l'heure de rosée
Sous un souffle étranger __ sous les crocs de la bise
Il ne sait plus le temps
La chaleur des beaux jours
L'oiseau chantant l'amour
La gaieté de son chant
Un beau matin __ pourtant __ une douceur irise
Dans les pensées en goutte d'eau
Un arc en ciel en renouveau
De blonds rayons se pose
Alors il ose à la lumière d'or
Inspire et s'émerveille
L'arbre fleurit et se réveille
Car dans son corps la vie murmure et croit encore
© Copyright Merle Bleu
L'arbre qui perd
Les belles feuilles de ses branches
D'absence de lumière
Il a peur de l'hiver
Du bûcheron qui tranche
Du froid et de la glace
De la cîme qui penche
Sous de la neige blanche
Il rêve de printemps
De sève et de verdure
D'un Univers en vert
Au ciel à cœur ouvert
Il érige ses doigts
Des squelettes de bois
De noirceur et vertige
Lui répond le silence à l'arbre sans repère
Il tremble de misère en la forêt immense
Nature en manque aux pensées grises
Les pieds décomposés dans des restes funèbres
Parfois il pleure dans l'ombre des ténèbres
Son écorce arrosée d'une averse de pluie
Il pleure et geint la nuit à l'heure de rosée
Sous un souffle étranger __ sous les crocs de la bise
Il ne sait plus le temps
La chaleur des beaux jours
L'oiseau chantant l'amour
La gaieté de son chant
Un beau matin __ pourtant __ une douceur irise
Dans les pensées en goutte d'eau
Un arc en ciel en renouveau
De blonds rayons se pose
Alors il ose à la lumière d'or
Inspire et s'émerveille
L'arbre fleurit et se réveille
Car dans son corps la vie murmure et croit encore
© Copyright Merle Bleu
Ciel de traîne
Aujourd'hui de charme éclaire
Le jour s'étire au ciel gris bleu
Hier a des yeux verts __ un long sourire
Des petits pas à deux __ des caresses légères
Au sable blond __ aux vagues de platine
L'instant déferle ses promesses
Perles brillantes de tendresse
Sur des pensées mutines
L'esprit explore __ accueille et donne
Sous les nuages __ sous la pluie
Découvrant de la vie les couleurs de l'automne
La lueur d'un soleil aux reflets intérieurs
Bras suspendus __ éclats rieurs
Les phrases se déroulent
Venus du cœur __ en mots complices
Où la chaleur de la pensée se glisse
Silence __ étrange profondeur
A l'attirance et bouche offerte
Le désir frôle __ hésite __ affleure
Effleure et vibre __ ouvre les portes
Rose est la main __ fleur délicate
Velours aux surfaces de peau
Le jour se lève __ orange et beau
Frisson aux teintes écarlates
© Copyright Merle Bleu
Le jour s'étire au ciel gris bleu
Hier a des yeux verts __ un long sourire
Des petits pas à deux __ des caresses légères
Au sable blond __ aux vagues de platine
L'instant déferle ses promesses
Perles brillantes de tendresse
Sur des pensées mutines
L'esprit explore __ accueille et donne
Sous les nuages __ sous la pluie
Découvrant de la vie les couleurs de l'automne
La lueur d'un soleil aux reflets intérieurs
Bras suspendus __ éclats rieurs
Les phrases se déroulent
Venus du cœur __ en mots complices
Où la chaleur de la pensée se glisse
Silence __ étrange profondeur
A l'attirance et bouche offerte
Le désir frôle __ hésite __ affleure
Effleure et vibre __ ouvre les portes
Rose est la main __ fleur délicate
Velours aux surfaces de peau
Le jour se lève __ orange et beau
Frisson aux teintes écarlates
© Copyright Merle Bleu
mardi 24 novembre 2015
Che vuoi - sentence expiatoire
Miroir __ toi qui me vêts d'un masque
Suis-je l'otage de souffrances
Reflet terni d'une vengeance
Une ombre arrachée d'une fresque
Miroir au tain expiatoire
Un cycle se réflète et me désigne
Le sang veut ses victoires
L'espoir à l'impossible saigne
Coupable __ exprime le silence
Il tait __ gomme __ supprime
Répète à l'infini le crime
Tout en clamant son innocence
Sentence claque comme un fouet
Suspends le temps au bout du vide
Tranche l'amant __ étrange jouet
Aux yeux cernés __ au teint livide
Tête coupée dans l'herbe verte
Menthe est l'amour des religieuses
A fleur de peau __ mains découvertes
Sur des pensées vertigineuses
© Copyright Merle Bleu
Doigts de sable
Pris sur le web
Le temps s'effrite au creux du sablier
Trois minutes de poussières
Une coquille de lumière
A contempler les infimes pépites
Infini des rivières
Quel est le but __ quelle est la source
Lorsque le flux s'inverse
Et qu'aujourd'hui n'écoule plus d'hier
L'oued a craché le lit des pierres
La main rugueuse est périssable
Tournant en vain ses doigts de sable
Dans la caresse du désert
Nature __ offrande de la terre
Le monde est d'astres clairsemé
Amas de poudre scintillante
Eclat d'incandescence aux dunes éphémères
Avalanche de grains
Pluie crépitante de cristal
Aux rêves d'idéal
La vie coule des jours sans fin
Silice fine et douce
Entonne moi le chant des dunes
Sans bruit et sans secousse
Pour que demain tourne et m'étonne
© Copyright Merle Bleu
samedi 21 novembre 2015
Aile à voix basse
Pose toi papillon __ offre moi tes couleurs
Sur les bleus de ton corps à la poudre des ailes
D'un reflet de ton cœur sur mon cœur vermillon
Au refrain des grillons __ pose toi __ pose toi papillon
Tu es d'aile et de fleur __ de pollen et de miel
Sur les bleus des envies __ sur la poudre des peines
Pose toi papillon __ offre moi le bleu ciel
D'un rayon de soleil sur le noir des grillons
Battement de tes cils à la fleur de mon âme
Pose toi douce flamme aux essences d'iris
Au silence complice __ au nectar du regard
Pose toi au hasard et caresse mes heures
Pose toi dans les airs de musique légère
Sur le temps Mikado __ pose toi sur mon dos
Au rocher de ma peau __ au sommet d'une pierre
Où tu peux t'accrocher et contempler la mer
Conscience de haut vol sur le faît des nuages
Arc en ciel irisé aux plages d'innocence
A l'abri des volets __ que ta ligne brisée
Dans la paume des mains tendrement se répare
Parle et vole à l'amour __ au tourbillon des cieux
Sur les rires d'enfance où les fées papillonnent
Puis sillonne à l'azur le désir merveilleux
Dans la poudre des yeux d'où la larme s'envole
© Copyright Merle Bleu
vendredi 20 novembre 2015
Le poisson bouge
L'amour est à portée de lèvres
Raisin sublime
Cri de désir au creux du ventre
Blessure ancienne de l'estime
La pièce était ce jeu du crime
Où le désir devient jouet
Où être en devient ridicule
Un souhait désespéré __ sans le moindre recul
Poisson rouge
Devant les yeux tu es celui qui bouge
Ton bocal est la mer
Le rêve a cet éclat de tes écailles
Désert ou nourriture __ tout est dans le regard
Le choix est un coup de nageoire
Le soleil une orange
Dont seul un ange boit le jus
L'eau coule à l'horizon
Elle __ a le goût __ et l'espoir __ et l'envie __ et la soif
Hier est cet espace d'illusoire
Dont chaque histoire est le récif
La terre tourne et reçoit le hasard
Tout ce qui meure un soir est source de lumière
Coup de soleil __ coup de nageoire
Nouveau destin __ un mouvement dans un éclair
Oeil et poisson se font petits loin d'une loupe
La lame de tempête à la chaloupe tape et berce
Intacte de blessure est l'âme aux profondeurs de l'espérance
A la surface danse un infini de vies __ de créatures
© Copyright Merle Bleu
jeudi 19 novembre 2015
Lieu d'être
Sol anonyme
La vie sourdait de là __ pure et rugueuse
Sortant d'abîmes de la terre
Aux arènes calcaires
Source sacrée je te contemple
Ma pensée vogue un cygne
Un courant d'air aux colonnes du temple
Ici le temps poursuit son règne
Loin de ces lieux où l'amour saigne
Coule le corps et ses secondes
D'un crépuscule où renait Diane
Déesse en robe d'or et tulle
Ici l'Homme avait compris le Féminin de l'estime
L'eau du courant possède un sens __ une origine
Elle est précieuse à nous apprendre
D'ambre dessine __ nous destine
Humidité d'idées envahissantes
Laissons flotter le poids du devenir
Au long frisson des formes jaillissantes
Sans provoquer __ sans retenir
Tout est commencement
Mourir et naître __ aucune différence
Le début et la fin ne sont que quelques lettres
Essence est connaissance aux larmes souterraines
Marteau frappe encor à l'enclume d'airain
Les ombres tressaillantes
Aux silhouettes déhanchées
Qui se détachent nonchalantes
Lutte sans age
A chaque doigt la page offre une corne
L'histoire est un voyage
Où la colère est l'animal __ un être borgne
Aucune digue n'est étanche
Rien ne retient le cours des choses
Des rêves la poussière se dépose
Limon d'étoiles sur la grève
Infinité __ j'ai senti l'éternel
Il est un monde sans souffrance
Dans l'imparfait __ dans la blessure des béances
Dans les dépôts du sel
L'âme se berce au fond des nostalgies
Dans le parfum d'un songe
Je sais des plages de magie
Murmures d'une fée blottie auprès d'un ange
J'ouvre les bras à ce qui part ou vient
Pluie de demain __ eau de rosée douce ou troublante
Toujours à l'aube j'offrirai la main
Emouvante mouvance au transparent du cristallin
© Copyright Merle Bleu
La vie sourdait de là __ pure et rugueuse
Sortant d'abîmes de la terre
Aux arènes calcaires
Source sacrée je te contemple
Ma pensée vogue un cygne
Un courant d'air aux colonnes du temple
Ici le temps poursuit son règne
Loin de ces lieux où l'amour saigne
Coule le corps et ses secondes
D'un crépuscule où renait Diane
Déesse en robe d'or et tulle
Ici l'Homme avait compris le Féminin de l'estime
L'eau du courant possède un sens __ une origine
Elle est précieuse à nous apprendre
D'ambre dessine __ nous destine
Humidité d'idées envahissantes
Laissons flotter le poids du devenir
Au long frisson des formes jaillissantes
Sans provoquer __ sans retenir
Tout est commencement
Mourir et naître __ aucune différence
Le début et la fin ne sont que quelques lettres
Essence est connaissance aux larmes souterraines
Marteau frappe encor à l'enclume d'airain
Les ombres tressaillantes
Aux silhouettes déhanchées
Qui se détachent nonchalantes
Lutte sans age
A chaque doigt la page offre une corne
L'histoire est un voyage
Où la colère est l'animal __ un être borgne
Aucune digue n'est étanche
Rien ne retient le cours des choses
Des rêves la poussière se dépose
Limon d'étoiles sur la grève
Infinité __ j'ai senti l'éternel
Il est un monde sans souffrance
Dans l'imparfait __ dans la blessure des béances
Dans les dépôts du sel
L'âme se berce au fond des nostalgies
Dans le parfum d'un songe
Je sais des plages de magie
Murmures d'une fée blottie auprès d'un ange
J'ouvre les bras à ce qui part ou vient
Pluie de demain __ eau de rosée douce ou troublante
Toujours à l'aube j'offrirai la main
Emouvante mouvance au transparent du cristallin
© Copyright Merle Bleu
mercredi 18 novembre 2015
Veine vendange
Vain __ tu coules __ tu t'écoules
Rouge liquide à mon sang d'encre
Baume de torpeur au sacre du fugace
S'ouvre un palais de vapeur éphémère
Pâle copie de la réelle ivresse
Ersatz de la joie
Dans tes méandres je me noie
Marin d'eau douce aux vagues de l'amer
Terre __ terre es tu Gaïa notre déesse
Eros es tu redevenu chaos
Le monde matériel désigne ses parias
Est-ce __ est-ce __ me questionne l'écho
Que devrai-je répondre aux sources imaginaires
Plus de mer __ ni d'iles __ ni de fleurs
Hors de l'alcool nulle chaleur
Rien qu'un immense cimetière où jamais rien ne meurt
L'eau a perdu son origine
Elle n'est plus le courant __ elle ignore la vie
Elle est barrage et glace j'imagine
Là où le trouble demeure __ enlace
Le monde est las __ mis en carafe
Dis moi qui sera de service
Lorsque l'argent n'aura plus soif
Qui mettra fin à sa folie __ au maléfice
Qui retiendra qu'un seul partage
Donne un sens aux valeurs
Vain __ tu coules __ tu t'écoules des orages
De la douleur __ des battements irraisonnés du coeur
© Copyright Merle Bleu
Rouge liquide à mon sang d'encre
Baume de torpeur au sacre du fugace
S'ouvre un palais de vapeur éphémère
Pâle copie de la réelle ivresse
Ersatz de la joie
Dans tes méandres je me noie
Marin d'eau douce aux vagues de l'amer
Terre __ terre es tu Gaïa notre déesse
Eros es tu redevenu chaos
Le monde matériel désigne ses parias
Est-ce __ est-ce __ me questionne l'écho
Que devrai-je répondre aux sources imaginaires
Plus de mer __ ni d'iles __ ni de fleurs
Hors de l'alcool nulle chaleur
Rien qu'un immense cimetière où jamais rien ne meurt
L'eau a perdu son origine
Elle n'est plus le courant __ elle ignore la vie
Elle est barrage et glace j'imagine
Là où le trouble demeure __ enlace
Le monde est las __ mis en carafe
Dis moi qui sera de service
Lorsque l'argent n'aura plus soif
Qui mettra fin à sa folie __ au maléfice
Qui retiendra qu'un seul partage
Donne un sens aux valeurs
Vain __ tu coules __ tu t'écoules des orages
De la douleur __ des battements irraisonnés du coeur
© Copyright Merle Bleu
Le JE du miroir
JE TUe l'amour
Il se voudrait parfait
N'accepte pas ses manques
JE est un __ un dépendant
JE ne sais se reconnaître
Esclave d'une image
La liberté de ne pas être
Il n'est que de passage
JE referme la fenêtre et voile le miroir
S'aveugle d'un éclat de Moi
Oublie l'émoi __ les soirées de l'espoir
Où se disait le Nous
JE faible reflet de soie
Ne cherche pas Cain de l'œil
Pas de coupable au ruban de ce deuil
JE __ baisse encore un peu la voix
L'amour est là __ devant
Chœur de vœux blancs
Bouquet de Soi sur un linceul
Au trébuché des dépendances
© Copyright Merle Bleu
Il se voudrait parfait
N'accepte pas ses manques
JE est un __ un dépendant
JE ne sais se reconnaître
Esclave d'une image
La liberté de ne pas être
Il n'est que de passage
JE referme la fenêtre et voile le miroir
S'aveugle d'un éclat de Moi
Oublie l'émoi __ les soirées de l'espoir
Où se disait le Nous
JE faible reflet de soie
Ne cherche pas Cain de l'œil
Pas de coupable au ruban de ce deuil
JE __ baisse encore un peu la voix
L'amour est là __ devant
Chœur de vœux blancs
Bouquet de Soi sur un linceul
Au trébuché des dépendances
© Copyright Merle Bleu
mardi 17 novembre 2015
Nil et nihil
Au centre où je demeure
Là où je sais être ma terre
Le temps m'a fait plaine et désert
Vide et plein
Je suis enfant et devenir
Beau de ses manques
Source et blessure de l'histoire
Soif et désir
Amour __ fleuve de soie à contenir
L'abstinence dessèche et l'abondance noie
Craquelle aux gerces de la bouche
Le sable et la mouvance du sommeil
Conscience et sensation
Lieu de l'intact et d'innocence
Perçois et sois
Vibre de notes généreuses
L'horloge au temps n'est pas soumise
Accueille l'hôte de l'instant
Vois au delà de ces eaux grises
Ce qui complète et te répare
Elle __ une étendue de plaine et de désert
Un complément de l'origine
Miroir de l'âme et de la chair __ mystère
Une harmonie d'un nous aux reflets androgynes
© Copyright Merle Bleu
Là où je sais être ma terre
Le temps m'a fait plaine et désert
Vide et plein
Je suis enfant et devenir
Beau de ses manques
Source et blessure de l'histoire
Soif et désir
Amour __ fleuve de soie à contenir
L'abstinence dessèche et l'abondance noie
Craquelle aux gerces de la bouche
Le sable et la mouvance du sommeil
Conscience et sensation
Lieu de l'intact et d'innocence
Perçois et sois
Vibre de notes généreuses
L'horloge au temps n'est pas soumise
Accueille l'hôte de l'instant
Vois au delà de ces eaux grises
Ce qui complète et te répare
Elle __ une étendue de plaine et de désert
Un complément de l'origine
Miroir de l'âme et de la chair __ mystère
Une harmonie d'un nous aux reflets androgynes
© Copyright Merle Bleu
Ligne de vie
Les feuilles de ta peau ont des charmes dorés
Déjà l'automne tombe
Au vent forme des rondes
Caresse de mon âme en tapis sur le sol
Douceur __ pourquoi serais tu morte
Soleil as tu quitté le ciel
Que ma voix porte __ exhorte
Existentiel __ tel est le bois de ma nature
Conscience __ écoute __ explore les nervures
Le pas du cœur rythme le temps de ses silences
L'inconscient sait le chant tapis des fleurs
Aveugle il désigne la route
Verdure où iras tu t'échoir
Le monde des couleurs lentement se décline
D'une lumière en pente __ orange flamboyante
Elle consume ou forge
Petit oiseau __ beau rouge gorge
La vie en moi ainsi sautille
Engourdie par le froid __ perchée sur un roseau
Fragile espoir de la brindille
Ma main est un oiseau offert
Posé de plume et profondeur
Dans les brumes d'amour aspergé de rosée
Frissonnant de donner __ recevoir et guérir
© Copyright Merle Bleu
Déjà l'automne tombe
Au vent forme des rondes
Caresse de mon âme en tapis sur le sol
Douceur __ pourquoi serais tu morte
Soleil as tu quitté le ciel
Que ma voix porte __ exhorte
Existentiel __ tel est le bois de ma nature
Conscience __ écoute __ explore les nervures
Le pas du cœur rythme le temps de ses silences
L'inconscient sait le chant tapis des fleurs
Aveugle il désigne la route
Verdure où iras tu t'échoir
Le monde des couleurs lentement se décline
D'une lumière en pente __ orange flamboyante
Elle consume ou forge
Petit oiseau __ beau rouge gorge
La vie en moi ainsi sautille
Engourdie par le froid __ perchée sur un roseau
Fragile espoir de la brindille
Ma main est un oiseau offert
Posé de plume et profondeur
Dans les brumes d'amour aspergé de rosée
Frissonnant de donner __ recevoir et guérir
© Copyright Merle Bleu
lundi 16 novembre 2015
Tant à écrire
Y a tant de choses de cassées
Des bouts de nous à l'intérieur
Des vieux vélos de nos passés
Morceaux grippés de dérailleurs
Tant de recoins de nos brocantes
Pièces brillantes sous la rouille
Y a tant de choses qui nous hantent
Foutent la trouille et font la guerre
Y a tant de choses de naguère
Qui nous font peur et nous font fuir
Qui se ravivent de nos joies
D'un avenir sur le qui vive
Si peu de temps __ tant d'autres fois
Pour accepter d'encore y croire
Y a tant de rôles sans contrôle
Tant de peut-être à décevoir
Beaucoup de rêves __ des blessures
Qui nous refusent de conduire
Qui nous évitent de construire
En nous jouant à blanc ou noir
Tant de fierté à déplacer
D'indépendance __ de victoires
Un héritage du labeur
Notre valeur à maintenir
Y a tant de choses d'effacées
A retracer __ à réécrire
Tant à apprendre __ à découvrir
A se remplir __ à partager
De la beauté et des sourires
De la douceur __ de la tendresse
Pleins de fous rires __ d'allégresse
De la confiance et du savoir
Qu'il faut prendre du temps pour écrire une histoire
© Copyright Merle Bleu
Des bouts de nous à l'intérieur
Des vieux vélos de nos passés
Morceaux grippés de dérailleurs
Tant de recoins de nos brocantes
Pièces brillantes sous la rouille
Y a tant de choses qui nous hantent
Foutent la trouille et font la guerre
Y a tant de choses de naguère
Qui nous font peur et nous font fuir
Qui se ravivent de nos joies
D'un avenir sur le qui vive
Si peu de temps __ tant d'autres fois
Pour accepter d'encore y croire
Y a tant de rôles sans contrôle
Tant de peut-être à décevoir
Beaucoup de rêves __ des blessures
Qui nous refusent de conduire
Qui nous évitent de construire
En nous jouant à blanc ou noir
Tant de fierté à déplacer
D'indépendance __ de victoires
Un héritage du labeur
Notre valeur à maintenir
Y a tant de choses d'effacées
A retracer __ à réécrire
Tant à apprendre __ à découvrir
A se remplir __ à partager
De la beauté et des sourires
De la douceur __ de la tendresse
Pleins de fous rires __ d'allégresse
De la confiance et du savoir
Qu'il faut prendre du temps pour écrire une histoire
© Copyright Merle Bleu
Sans uni vers
J'ai caressé un rêve en vers
À la peau douce __ aux yeux gris vert
En un éclair __ sans un orage
J'ai vu tomber la pluie __ la pluie d'hiver
Je suis tombé de ce mirage
A la peau douce __ aux yeux gris vert
Sans un éclat et sans secousse
En un éclair et sans un nuage
J'ai vu s'envoler ses images
J'en ai pleuré tous mes sourires
En un silence et sans rien dire
A la peau douce __ aux yeux gris vert
J'ai vu s'envoler mes sourires
Les mots d'amour et les prés verts
En un éclair et sans un orage
Sans un éclat et sans secousse
Partie la mousse et puis les bulles
Les mots d'amour et les prés verts
Sans préavis __ sans préambule
En funambule __ au fil d'un jour
J'ai vu se taire les poèmes
Tous les Rimbaud __ tous les Prévert
Aux yeux gris vert __ A la peau douce
Sous le huit clos de mes paupières
© Copyright Merle Bleu
À la peau douce __ aux yeux gris vert
En un éclair __ sans un orage
J'ai vu tomber la pluie __ la pluie d'hiver
Je suis tombé de ce mirage
A la peau douce __ aux yeux gris vert
Sans un éclat et sans secousse
En un éclair et sans un nuage
J'ai vu s'envoler ses images
J'en ai pleuré tous mes sourires
En un silence et sans rien dire
A la peau douce __ aux yeux gris vert
J'ai vu s'envoler mes sourires
Les mots d'amour et les prés verts
En un éclair et sans un orage
Sans un éclat et sans secousse
Partie la mousse et puis les bulles
Les mots d'amour et les prés verts
Sans préavis __ sans préambule
En funambule __ au fil d'un jour
J'ai vu se taire les poèmes
Tous les Rimbaud __ tous les Prévert
Aux yeux gris vert __ A la peau douce
Sous le huit clos de mes paupières
© Copyright Merle Bleu
samedi 14 novembre 2015
Les vœux du sang
Paris __ la peine est capitale
Les rues sanglotent rouge
Aujourd'hui de stupeur
Pensez __ pansez pour éviter la guerre
Combien de sang pour effacer la peur
Justice trouve une balance
Que vive l'innocence au dessus des pavés
Que flotte la devise à ramener la paix
Paris__ pari kalach
Il ne faut pas que nos phrases ricochent
A notre langue radicale
Que l'étranger devienne cible
Paris perdu __ pari perdu est-ce possible
Egalité notre idéal
Sombreras tu nu sous les balles
Comme voudrait la main du fou
Paris ne mélange pas tout
Ne flotte pas de gauche à droite à la dérive
Le sang aveugle sur tes rives
N'a pas de race et tous les hommes crèvent
Sans les nommer nous avons mal
De ce qui meurt en nous sous les rafales
Du beau __ du bien __ du juste
Que de nos dieux __ nos rêves __ l'idée de paix subsiste
© Copyright Merle Bleu
Les rues sanglotent rouge
Aujourd'hui de stupeur
Pensez __ pansez pour éviter la guerre
Combien de sang pour effacer la peur
Justice trouve une balance
Que vive l'innocence au dessus des pavés
Que flotte la devise à ramener la paix
Paris__ pari kalach
Il ne faut pas que nos phrases ricochent
A notre langue radicale
Que l'étranger devienne cible
Paris perdu __ pari perdu est-ce possible
Egalité notre idéal
Sombreras tu nu sous les balles
Comme voudrait la main du fou
Paris ne mélange pas tout
Ne flotte pas de gauche à droite à la dérive
Le sang aveugle sur tes rives
N'a pas de race et tous les hommes crèvent
Sans les nommer nous avons mal
De ce qui meurt en nous sous les rafales
Du beau __ du bien __ du juste
Que de nos dieux __ nos rêves __ l'idée de paix subsiste
© Copyright Merle Bleu
vendredi 13 novembre 2015
Larme filante
Si de mes yeux tombaient des larmes de nous deux
J'inonderais le monde en musique de pluie
Je ne veux pas de gris __ des larmes toutes rondes
S'écouleraient la nuit en douce symphonie
En musique de pluie des gouttes toutes rondes
Couleraient de la vie __ de mon coeur en couleur
Pour arroser les fleurs de cette ondée du jour
De notes de rosée vers ton âme en velours
Si de mes yeux coulaient des larmes toutes rondes
Les gouttes te joueraient l'amour en mélodie
Je ne veux pas de pluie sur une mèche blonde
De mon cœur en couleur je t'offrirais la vie
Si de mes yeux coulaient les rivières du monde
Je t'offrirais le chant de l'eau sur les galets
Pierreries de la vie sur une mèche blonde
Les bulles d'un palais où les étoiles rient
Je t'offrirais la vie sur une mèche blonde
De mon coeur en couleur chantant sur les galets
L'enfant pris dans la ronde et toi qui t'en allait
Au loin dans ce palais où les étoiles fuient
© Copyright Merle Bleu
J'inonderais le monde en musique de pluie
Je ne veux pas de gris __ des larmes toutes rondes
S'écouleraient la nuit en douce symphonie
En musique de pluie des gouttes toutes rondes
Couleraient de la vie __ de mon coeur en couleur
Pour arroser les fleurs de cette ondée du jour
De notes de rosée vers ton âme en velours
Si de mes yeux coulaient des larmes toutes rondes
Les gouttes te joueraient l'amour en mélodie
Je ne veux pas de pluie sur une mèche blonde
De mon cœur en couleur je t'offrirais la vie
Si de mes yeux coulaient les rivières du monde
Je t'offrirais le chant de l'eau sur les galets
Pierreries de la vie sur une mèche blonde
Les bulles d'un palais où les étoiles rient
Je t'offrirais la vie sur une mèche blonde
De mon coeur en couleur chantant sur les galets
L'enfant pris dans la ronde et toi qui t'en allait
Au loin dans ce palais où les étoiles fuient
© Copyright Merle Bleu
Lueurs dans un tesson
Miroir teinté tombé au sol
Image éparpillée __ dispersée de lumière
Existe-il un monde entier
Un Univers non fractionné
Morceaux de glace à l'entrée d'un hiver
Scènes de vie sur le pavé
Les passants passent
Au froid percé d'un fait divers
En lacets __ enlacés
Eclats de voix lassés __ éclats de vers
Tous les reflets se font duos
Et les étoiles sont par terre
La pensée brille à l'infini
Eclaire un espace de verre et rebondit
Distance de surfaces
Mirage en cercles désunis
Le froid s'infiltre et gerce
La plage de cristal __ silice pure
Fissurée d'idéal
Que le vague envahi et que l'âme délaisse
Silence __ un rayon blesse
Dessine un ange au crayon d'or
Là où l'amour jamais ne meure
Où les nuages s'accomplissent
D'une parcelle __ d'un tesson __ d'une lueur
De l'intérieur de loupe noire de l'Onyx
Des grises cendres du Phoenix
Un cœur grandit et pleure en gerbe d'étincelles
© Copyright Merle Bleu
Image éparpillée __ dispersée de lumière
Existe-il un monde entier
Un Univers non fractionné
Morceaux de glace à l'entrée d'un hiver
Scènes de vie sur le pavé
Les passants passent
Au froid percé d'un fait divers
En lacets __ enlacés
Eclats de voix lassés __ éclats de vers
Tous les reflets se font duos
Et les étoiles sont par terre
La pensée brille à l'infini
Eclaire un espace de verre et rebondit
Distance de surfaces
Mirage en cercles désunis
Le froid s'infiltre et gerce
La plage de cristal __ silice pure
Fissurée d'idéal
Que le vague envahi et que l'âme délaisse
Silence __ un rayon blesse
Dessine un ange au crayon d'or
Là où l'amour jamais ne meure
Où les nuages s'accomplissent
D'une parcelle __ d'un tesson __ d'une lueur
De l'intérieur de loupe noire de l'Onyx
Des grises cendres du Phoenix
Un cœur grandit et pleure en gerbe d'étincelles
© Copyright Merle Bleu
jeudi 12 novembre 2015
Pattes de mouche
Mouche collée sur le papier
Ecrira-t-elle un texte
Sa patte noire à l'encrier
Elle consulte sa mémoire
Elle est posée la mouche noire
Où ira-t-elle zigzaguer
La feuille est blanche teinte ivoire
Un Univers où divaguer
Elle est pensive et intriguée
Mille miroirs __ vierges facettes
En perspective à explorer
Pour que le vide s'interprète
Est-elle prête __ a-t-elle envie
Elle tatonne et elle hésite
Sa tête teinte de graphite
Ne manque-t-elle pas d'esprit
Gagnera-t-elle un jour un prix
Le bel espoir la rend bébête
Et quelques phrases la visitent
Elle s'arrête __ a-t-elle compris
Les mots ne sont jamais qu'un rêve
De ceux qui font l'humain voler
La mouche aurait voulu nager
Dans l'écriture elle se noit
© Copyright Merle Bleu
Ecrira-t-elle un texte
Sa patte noire à l'encrier
Elle consulte sa mémoire
Elle est posée la mouche noire
Où ira-t-elle zigzaguer
La feuille est blanche teinte ivoire
Un Univers où divaguer
Elle est pensive et intriguée
Mille miroirs __ vierges facettes
En perspective à explorer
Pour que le vide s'interprète
Est-elle prête __ a-t-elle envie
Elle tatonne et elle hésite
Sa tête teinte de graphite
Ne manque-t-elle pas d'esprit
Gagnera-t-elle un jour un prix
Le bel espoir la rend bébête
Et quelques phrases la visitent
Elle s'arrête __ a-t-elle compris
Les mots ne sont jamais qu'un rêve
De ceux qui font l'humain voler
La mouche aurait voulu nager
Dans l'écriture elle se noit
© Copyright Merle Bleu
mardi 10 novembre 2015
Rose d'horizon
Velours entre les doigts
Tombent pétales __ s'éparpillent
Peaux de parfum
Volée de doutes
De l'Univers entre les mains
Je sème au vent quelques étoiles
Rien ne retient les rayons d'or
Déjà l'instant hisse les voiles
Cœur incertain
Vogue navire au bleu pastel
De tes couleurs naissent les toiles
Sous le pinceau des nébuleuses
Dans l'infini d'un long regard
Je ne sais rien
De ce qui vit __ ce qui s'efface
Astre ou poudreuse
Tombe la brume un soir d'automne
Au sol humus __ dans la fumée sans simulacre
L'aube aux senteurs de renaissance
Ne sera pas __ Je crois
Au ciel je sculpte des soleils
A l'arc en ciel au coin des yeux
Je peins des rires __ de la joie
Un horizon à l'irisé du jour __ rose je grime
© Copyright Merle Bleu
Tombent pétales __ s'éparpillent
Peaux de parfum
Volée de doutes
De l'Univers entre les mains
Je sème au vent quelques étoiles
Rien ne retient les rayons d'or
Déjà l'instant hisse les voiles
Cœur incertain
Vogue navire au bleu pastel
De tes couleurs naissent les toiles
Sous le pinceau des nébuleuses
Dans l'infini d'un long regard
Je ne sais rien
De ce qui vit __ ce qui s'efface
Astre ou poudreuse
Tombe la brume un soir d'automne
Au sol humus __ dans la fumée sans simulacre
L'aube aux senteurs de renaissance
Ne sera pas __ Je crois
Au ciel je sculpte des soleils
A l'arc en ciel au coin des yeux
Je peins des rires __ de la joie
Un horizon à l'irisé du jour __ rose je grime
© Copyright Merle Bleu
lundi 9 novembre 2015
Caresse intemporelle
L'âme délie les liens du corps
Esprit __ vieux prisonnier du temps
Ta course s'est fini
Dans un silence du langage
Ne cherche rien __ demain te trouve
L'instant __ seul est certain
Ne creuse pas les douves
Châteaux de sable du béant
Pensée __ éloigne toi de ce néant
Au balancier de nos présents
Tous les futurs forment des ombres
Flous des regards __ voiles blanches d'absence
Ecoute mieux la voix de ton étoile
Entends son souffle à fleur de bouche
Touché murmure de la main
Prégnance du sublime
Voyage à la passée de ce chemin
Lissé glissé de sensations
Oublie le terme __ oublie la fin
Dessine l'infini au giron du suprême
Parsème sous la paume
Au délicat de peau
L'éternité d'un long sillage
Un trait de plume et de désir
Ferme les yeux et laisse éclore
Caché dans un soupir
Un frisson dort
Fripé de lèvres merveilleuses
© Copyright Merle Bleu
Esprit __ vieux prisonnier du temps
Ta course s'est fini
Dans un silence du langage
Ne cherche rien __ demain te trouve
L'instant __ seul est certain
Ne creuse pas les douves
Châteaux de sable du béant
Pensée __ éloigne toi de ce néant
Au balancier de nos présents
Tous les futurs forment des ombres
Flous des regards __ voiles blanches d'absence
Ecoute mieux la voix de ton étoile
Entends son souffle à fleur de bouche
Touché murmure de la main
Prégnance du sublime
Voyage à la passée de ce chemin
Lissé glissé de sensations
Oublie le terme __ oublie la fin
Dessine l'infini au giron du suprême
Parsème sous la paume
Au délicat de peau
L'éternité d'un long sillage
Un trait de plume et de désir
Ferme les yeux et laisse éclore
Caché dans un soupir
Un frisson dort
Fripé de lèvres merveilleuses
© Copyright Merle Bleu
mercredi 4 novembre 2015
Eau douce
Eau de toi
Le jour s'écoule
Limpide de lumière
Transparent de résurgence
Source et bienveillance
L'azur se baigne à tes reflets
Pastel il se décline
D'Or et bleu délavé
Prisme d'un listel
S'irise tes contours
Caressés d'un soleil
Liquide gemme __ scintillance
Flux de pierres et brillants
Tes charmes se répandent
Ailes souriantes et perlées
Cascades de fées exubérantes
Eau de toi
Je m'allonge à tes berges
Inondé de tes songes
Aspergé de ta voix
© Copyright Merle Bleu
Le jour s'écoule
Limpide de lumière
Transparent de résurgence
Source et bienveillance
L'azur se baigne à tes reflets
Pastel il se décline
D'Or et bleu délavé
Prisme d'un listel
S'irise tes contours
Caressés d'un soleil
Liquide gemme __ scintillance
Flux de pierres et brillants
Tes charmes se répandent
Ailes souriantes et perlées
Cascades de fées exubérantes
Eau de toi
Je m'allonge à tes berges
Inondé de tes songes
Aspergé de ta voix
© Copyright Merle Bleu
dimanche 1 novembre 2015
Toucher bleu
Au toucher de tes doigts
Je me joue __ notes bleus
Jolis mots sur la voix
Au refrain de tes yeux
Au refrain de tes yeux
Reflets noir de pupille
J'éparpille les sons
Au frisson de l'ivoire
Au frisson de l'ivoire
Sur ta peau ronde ou blanche
Un tempo me déhanche
Emporté je m'accroche
Emporté je m'accroche
A la vague des hanches
Vibrato exhalté
A crier comme un dingue
A crier comme un dingue
Aux tempêtes du corps
Aux fracas de la digue
Rêverai-je encore
Rêverai-je encore
Au toucher de mes doigts
Jolis mots sur ton corps
Notes bleus sur la voie
© Copyright Merle Bleu
Je me joue __ notes bleus
Jolis mots sur la voix
Au refrain de tes yeux
Au refrain de tes yeux
Reflets noir de pupille
J'éparpille les sons
Au frisson de l'ivoire
Au frisson de l'ivoire
Sur ta peau ronde ou blanche
Un tempo me déhanche
Emporté je m'accroche
Emporté je m'accroche
A la vague des hanches
Vibrato exhalté
A crier comme un dingue
A crier comme un dingue
Aux tempêtes du corps
Aux fracas de la digue
Rêverai-je encore
Rêverai-je encore
Au toucher de mes doigts
Jolis mots sur ton corps
Notes bleus sur la voie
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